Je pense à toi, petit homme plus âgé qui a cru
mon meilleur ennemi lorsque je pense à toi, je me lèche les lèvres et j'entend battre mon coeur dans ma chatte.
Bien que tu ne m'excites plus; ça c'est certain, une fois que j'ai sucé tout ce qui pouvait rester de toi, victoire étant faite,
te voir te tordre de douleurs, de chagrin d'amour, un rat aurait plus de valeur à mes yeux, je me délecte et fantasme juste sur la victoire de
ce combat mené durement car je dois l'avouer tu t'es bien défendu.
Je regrette juste que tu n'es su te préserver car après tout je savais qui tu étais, un lâche, l'homme marié, fantasmeur, qui veut baiser à en avoir mal la bite
mais qui n'ose parler à sa femme donc envisage l'adultere.
Car c'est ça tu ne faisait que l'envisager! mais moi une fois que j'ai agrippé ma proie, je ne lâche pas, quitte à me faire appeler chienne, ce n'est pas la manière qui m'importe mais seulement le résultat.
Te savoir mentir et être en proie à des vertiges juste pour pouvoir te glisser entre mes jambes, te retenir la nuit entière pour laisser le piège se refermer derrière toi, devenir ton obsession, travailler pour devenir ta drogue, te laisser t'accoutumer, te laisser croire que je suis amoureuse, la femme objet qui t'attend, être a ta merci totale, te voir prendre confiance en toi, te voir te détourner de ta famille pour passer plus de temps dans mon lit, et enfin une fois tout cela accomplit renverser le décor, de donner rendez vous et te laisser attendre des heures devant ma porte pendant que je baisais avec un autre, être bruyante pour que tu deviennes fou, te voir te soûler car je devenais incontrôlable; t'emmener en boite et danser avec tous sauf toi, te mettre dans les bras d'autres femmes lorsque tu ne voyais que par moi, je t'échappais, te démontrer que ce que tu avais de moi d'autre pouvait l'avoir et enfin te quitter sans un mot sans une adresse ni téléphone.
je sais que tu as souffert de ma perte et que tu souffres encore, et je t'aime pour avoir été mon meilleur ennemi.